samedi 2 juillet 2022

Une (pas si petite) année 2015 de lectures

C’était tellement fastidieux de récapituler mes années de lecture 2021, 2020, 2019, 2018, 2017 et 2016 avec les liens vers chaque billet de lecture (parfois minuscules), que j’aurais bien pu omettre de le faire pour 2015 (elle a duré plus longtemps que les suivantes, apparemment ; les billets y sont moins minuscules et les titres plus nombreux). Mais tout de même :

Dernières nouvelles d’Œsthrenie, d’Anne-Sylvie Salzman, aux éditions Dystopia,

Courants blancs, de Philippe Jaffeux, aux éditions L’Atelier de l’Agneau,

Bleu éperdument, de Kate Braverman, traduit par Morgan Saysana, chez Quidam éditeur,

Versailles Chantiers, de Christiane Veschambre, aux éditions Isabelle Sauvage,

A vous tous, je rends la couronne, de Catherine Ysmal, chez Quidam éditeur,

Hélice à deux, de Nathalie Léger-Cresson, aux éditions Des Femmes-Antoinette Fouque,

Sunny girls, de Sandra Moussempès, aux éditions Flammarion,

Fraudeur, d’Eugène Savitzkaya, aux éditions de Minuit,

KA TA, de Céline Minard, aux éditions Rivages,

Kunst aufräumen (l’art du rangement) de Ursus Wehrli, aux éditions Kein & Aber,

La Salle, de Joël Baqué, aux éditions POL,

Route de nuit, de Clément Rosset, aux éditions Gallimard,

Pré ou carré, de Joël Baqué, aux éditions Eric Pesty,

A la cyprine, d’Eugène Savitzkaya, aux éditions de Minuit,

Juste ciel, d’Eric Chevillard, aux éditions de Minuit,

Louange et épuisement d’un jour sans fin, de Didier da Silva, aux éditions Helium,

Salle des machines, de Jean-Michel Espitallier, aux éditions Flammarion,

Le parapluie rouge, d’Anna de Sandre, aux éditions In-8,

En territoire Auriaba, de Jérôme Lafargue, chez Quidam éditeur,

Dans la queue le venin, de Claro, aux éditions de l’Arbre vengeur,

Le parfum du jour est fraise, de Pascale Petit, aux éditions de l’Attente,

Le cahier d’Alberto, de Monique Rivet, chez Quidam éditeur,

Roman dormant, d’Antoine Brea, aux éditions Le Quartanier,

Mikki et le village miniature, de Mika Biermann, aux éditions POL,

Thérèse Raquin, d’Emile Zola, dont je déconseille la découverte en Livre de Poche,

Les morts rigolos, d’Antoine Boute, aux éditions Les petits matins,

Dits des xhuxha’i, d’Anne-Sylvie Salzman, aux éditions Black Herald Presse,

Tchoôl, de Christophe Macquet, aux éditions Le grand os,

Molloy, de Samuel Beckett, aux éditions de Minuit, (suite et fin)

Sanza lettere (road movie), de Marie Cosnay, aux éditions de l’Attente,

Le dépeupleur, de Samuel Beckett, aux éditions de Minuit,

Malone meurt, de Samuel Beckett, aux éditions de Minuit (suite),

Dictionnaire de trois fois rien, de Marc-Émile Thinez, aux éditions Louise Bottu,

Le Château, de Kafka (Folio) et Gaston Lagaffe, de Franquin (Dupuis),

Parune nuit d’hiver je sortis de ma maison tranquille, de Peter Handke, aux éditions Gallimard,

La belle lurette, d’Henri Calet, aux éditons Gallimard,

Les villes invisibles, d’Italo Calvino (Point-Seuil),

Les inachevés, de Reinhard Jirgl, traduit par Martine Rémond, chez Quidam éditeur,

Ode à la ligne 29 des autobus parisiens, de Jacques Roubaud, aux éditions Attila,

La femme d’un homme qui, de Nick Barlay, traduit par Françoise Marel, chez Quidam édireur,

Quelques rides, de Fabien Clouette, aux éditions de l’Ogre,

« Le rêve de Coleridge », dans Enquêtes, de Jorge Luis Borges,

Crash-test, de Claro, aux éditions Actes-Sud,

Tunnels, de Catherine Ysmal, aux éditions Maelström,

Biblique des derniers gestes, de Patrick Chamoiseau, aux éditions Gallimard,

Charognards, de Stéphane Vanderhaeghe, chez Quidam éditeur,

Poèmes évidents, de Guy Bennett, traduits par Frédéric Forte et l’auteur, aux éditions de l’Attente,

Le joyeux anniversaire de la mort, de Gregory Corso, traduit par Blandine Longre, aux éditions Black Herald Press,

Cordeliala guerre, de Marie Cosnay, aux éditions de l’Ogre,

Merci, de Pablo Katchadjian, traduit par Guillaume Contré, aux éditions Vies parallèles,

Booming, de Mika Biermann, aux éditions Anacharsis,

Oreilles rouges et son maître, de François Matton, aux éditions POL,

Mes amis, d’Emmanuel Bove, aux éditions de l’Arbre vengeur,

L’institut Benjamenta, de Robert Walser, aux éditions Gallimard,

Comment(s), de Frédéric Forte, aux éditions de l’Attente,

L’équation du nénuphar, de Pascale Petit, aux éditions Louise Bottu,

Des lions comme des danseuses, d’Arno Bertina, aux éditions La Contre-allée,

Tête-Dure, de Francesco Pittau, aux éditions Les Carnets du dessert de lune,

Marco Pantani a débranché la prise, de Jacques Josse, aux éditions La Contre-allée,

L’opérette imaginaire, de Valère Novarina, aux éditions POL,

Dans l’enfer des profondeurs, de Hubert Lucot, aux éditions de l’Attente,

La terre sous les ongles, d’Alexandre Civico, aux éditions Rivages,

Data transport, de Mathieu Brosseau, aux éditions de l’Ogre,

Aventures, de Pierre Lafargue, aux éditions Vagabonde.


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