mardi 29 novembre 2022

court toujours (52)

Il faut désormais remonter le temps pour se rappeler celui où l’on remontait encore sa montre.




samedi 26 novembre 2022

court toujours (49)

Et quels sont vos projets pour l’avenir ?

J’espère bien assister en direct à la disparition de la littérature pour pouvoir la raconter dans mon prochain livre.




vendredi 25 novembre 2022

Faire salon dimanche

Dimanche c'est le salon des Essarts-le-Roi. Il y aura du Annocque. Cliquez sur le lien pour les détails.

jeudi 24 novembre 2022

court toujours (48)

Il m’arrive aussi quelquefois de me surprendre à mûrir quelques avant-pensées, et puis je m’arrête.




mercredi 23 novembre 2022

court toujours (47)

C’était l’histoire d’un homme de mots qui s’efforçait de devenir un homme de paroles.




mardi 22 novembre 2022

samedi 19 novembre 2022

Bougalkov chez Inculte

Il y a toujours des livres qu’on n’a pas lus et parfois quel bonheur de les découvrir. Je sors tout juste de la lecture du Maître et Marguerite de Boulgakov, reparu chez Inculte en 2020 dans une nouvelle traduction due à André Markowicz et Françoise Morvan, et acquis à l’occasion d’une rencontre avec les traducteurs à l’indispensable librairie Charybde. (Oui : je ne l’avais pas encore lu – le diable sait comment la chose est possible.)



vendredi 18 novembre 2022

mercredi 16 novembre 2022

Une année 2011 de lectures

C’était tellement fastidieux de récapituler mes années de lecture 2021, 2020, 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013 et 2012 avec les liens vers chaque billet de lecture (et ici même avec les liens vers chacune desdites années), que j’ai failli omettre de le faire pour 2011. Mais tout de même :

Discographie, de Frédéric Forte (éditions de l’Attente)

Une petite forme, de Didier da Silva et François Matton (POL)

Dino Egger, d’Eric Chevillard (Minuit)

Montparnasse Monde, de Martine Sonnet (Le Temps qu’il fait)

L’automne zéro neuf, de Didier da Silva (Leo Scheer)

Les côtés cachés, de Pascale Petit (Action poétique)

Cloués au port, de Jacques Josse (Quidam)

Moinous et Sucette, de Raymond Federman (Al dante)

Attachements, de Victoria Horton (Quidam)

Moo Pak, de Gabriel Josipovici (Quidam)

La Présence, de Pierre Jourde (Les Allusifs)

Le Pourceau, le diable et la putain, de Marc Villemain (Quidam)

Isabelle à m’en disloquer, de Christophe Esnault (Les doigts dans la prose)

Extravague, de Xavier Person (Le bleu du ciel)

Je(s), de Denis Guillec (Les Carnets du dessert de lune)

Tu ne mourras pas, de Bénédicte Heim et Edmond Baudouin (Les Contrebandiers)

Djinn John, de David Lespiau (éditions de l’Attente)

Christie Malry règle ses comptes, de B.S. Johnson (Quidam)

Loque (une élégie), de Dominique Quelen (Fissile)

Grèbe, de Fred Léal (éditions de l’Attente)

Le corps de l’autre, de Georges-Olivier Châteaureynaud (Grasset)

Voyage vers le Nord, de Karel Čapek (Le Sonneur)

Rome, regards, de Rolf Dieter Brinkmann (Quidam)

Quitte ou double, de Raymond Federman (Al dante)

Chiens écrasés, d’Eric Chevillard (Le Tigre)

Exquise Louise, d’Eugène Savitkaya (Minuit)

Renégat, roman du temps nerveux, de Reinhard Jirgl (Quidam)

So long, Louise, de Céline Minard (Denoël)

Précis de nos marqueurs mobiles, de Pierre Parlant (éditions de l’Attente)

B.S. Johnson, Histoire d’un éléphant fougueux, de Jonathan Coe (Quidam)

Carénage, de Sylvain Coher (Actes-Sud)

La lettre de Buenos Aires, de Hubert Mingarelli (Buchet-Chastel)

L’année de l’hippocampe, de Jérôme Lafargue (Quidam)

Les unités, de Sabine Bourgois (Un comptoir d’édition)

Les oiseaux de paradis, de Lise Beninca (Joëlle Losfeld)

Sharawadji Manuel du jardinier platonique, de Pascale Petit (L’inventaire)

Nos cheveux blanchiront avec nos yeux, de Thomas Vinau (Alma)

Futur fleuve, d’Emmanuel Rabu (Léo Scheer)

Les Ales, de Céline Minard et Scomparo (Cambourakis)

L’o de trous, d’Aurelio Diaz Ronda (le grand os)

Hannibal tragique, suivi de Hannibal domestique, de Joseph Mouton (Les petits matins)

Ce vieil air de blues, de Cécile Beauvoir (Le temps qu’il fait)

Entre chagrin et néant, de Marie Cosnay (Cadex)

Iguanes et moines, d’Eric Chevillard (Fata Morgana)

Deux étages avec terrasse et vue sur le détroit, d’Emmanuel Hocquard (Echo & co)

Le son de ma voix, de Ron Butlin (Quidam)

Mes nippes, de Gabriel Bergounioux (Champ vallon)

Aire du mouton, de Joël Baqué (POL)

mardi 15 novembre 2022

court toujours (41)

On a beau faire, l’intelligence artificielle n’arrive toujours pas à la cheville de l’imbécillité naturelle.




lundi 14 novembre 2022

court toujours (40)

Toutes ces étranges publicités concernant des « femmes mûres » en sont la preuve : les petits hommes verts existent.




dimanche 13 novembre 2022

samedi 12 novembre 2022

vendredi 11 novembre 2022

jeudi 10 novembre 2022

court toujours (36)

Poil dans la main et cheveu sur la langue, le fainéant zozoteur souffre surtout de pilosité déplacée.




mercredi 9 novembre 2022

court toujours (35)

J’ai très peu d’avis en général, alors ne comptez pas sur moi pour les avoir humbles.




lundi 7 novembre 2022

dimanche 6 novembre 2022

court toujours (32)

Avant-hier on vous la souhaitait bonne, hier on vous la souhaitait belle, aujourd’hui on vous la souhaite douce. Comme je suis toujours en avance sur mon temps, je vous la souhaite moelleuse.





samedi 5 novembre 2022

vendredi 4 novembre 2022

court toujours (30)

Je n’ai pas le temps et je me demande bien qui me l’a pris car toutes les personnes interrogées ont l’air sincèrement innocentes.




jeudi 3 novembre 2022

court toujours (29)

La barrière de la langue n’est rien une fois franchie celle des dents.




(Chacun de notre côté, sans nous concerter et à plusieurs centaines de kilomètres de distance, un ami et moi avons écrit peu ou prou cette même phrase. Pas de barrière de la langue entre nous.)

mercredi 2 novembre 2022

court toujours (28)

Le rire est un réflexe qui se manifeste par un enchaînement de petites expirations saccadées accompagné d’une vocalisation inarticulée plus ou moins bruyante.




mardi 1 novembre 2022

court toujours (27)

J’ai regardé un documentaire sur les pompes funèbres. Ça ne donne pas envie de mourir.