mardi 28 décembre 2021

Une (petite) année 2021 de lectures

Tiens, pour finir l’année ; les titres qui ont suscité un billet sur ce blog depuis janvier dernier :

Arlequinus Arlequinus, d’Enjoh Toe, traduit du japonais par Sylvain Cardanel, aux éditions La Ronde de Nuit.

Derrière la gare, d’Arno Camenish, traduit du suisse allemand par Camille Luscher, chez Quidam éditeur.

Isola, de Joëlle Varenne, aux éditions Médiapop.

Mon citronnier, de Samantha Barendson, aux éditions JC Lattès.

Comme un morceau de nuit, découpé dans son étoffe, de Deborah Heissler, chez Cheyne éditeur.

La folie de ma mère, d’Isabelle Flaten, aux éditions Le Nouvel Attila.

nique, d’Ana Tot, aux éditions Louise Bottu.

Cassandre à bout portant, de Sandra Moussempès, aux éditions Flammarion.

Finir les restes, de Frédéric Fiolof, chez Quidam éditeur.

Déblais, d’Alexander Dickow, aux éditions Louise Bottu.

Détails II, suite et fin, de Marcel Cohen, aux éditions Gallimard.

Le premier souper, d’Alexander Dickow, aux éditions La Volte.

Hotel Andromeda, de Gabriel Josipovici, traduit de l’anglais par Vanessa Guignery, chez Quidam éditeur.

La mort de Masao, de Didier da Silva, chez Marest éditeur.

Tes ombres sur les talons, de Carole Zalberg, aux éditions Grasset.

Sez Ner, d’Arno Camenish, traduit du suisse allemand par Camille Luscher, chez Quidam éditeur.

La fille que ma mère imaginait, d’Isabelle Boissard, aux éditions Les Avrils.

Nous allons perdre deux minutes de lumière, de Frédéric Forte, aux éditions POL.

Autoportrait, d’Edouard Levé, aux éditions POL.

Les filles de Monroe, d’Antoine Volodine, aux éditions du Seuil.

Vie du poème, de Pierre Vinclair, aux éditions Lignes intérieures.

Esquisses de la poussière, de Jean-Pierre Le Goff, aux éditions des Grands Champs.

Plasmas, de Céline Minard, aux éditions Rivages.

Des îles, Lesbos 2020 Canaries 2021, de Marie Cosnay, aux éditions de l’Ogre.

Amoureuse ? d’Estelle Fenzy, aux éditions La Boucherie Littéraire.

Tu m’aimes-tu ? de Samantha Barendson, aux éditions Le chat polaire.

Entre les lignes, d’Estelle Dumortier et Bernard Ciancia, aux éditions La rumeur libre.

Promenades avec le déplaisant P., d’Olivier Hervy, aux éditions Denis.

On peut boire la transpiration d’un cheval, d’Antoine Boute & co, aux éditions Les petits matins.

Les joies simples, de Félicie Dubois, aux éditions François Bourin.

Remerciements, de Guy Bennett, traduit de l’américain par Frank Smith et l’auteur, aux éditions de l’Attente.

j’aurai été, de Marc-Émile Thinez, aux éditions Louise Bottu.



Je comprends pourquoi je n’ai jamais fait ce genre de billet récapitulatif jusqu’à présent : c’est très fastidieux. Notamment tous ces liens à insérer. Surtout que plus personne ne clique sur les liens.

Il faudra quand même que je le fasse aussi pour l’année 2020 ; 2020 c’était compliqué aussi pour les livres.

Et puis l’année 2019, ça me rappellera des souvenirs.

Et puis les précédentes, tiens.

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