dimanche 30 janvier 2022

Une (petite) année 2020 de lectures

C’était fastidieux de récapituler mon année de lecture 2021, avec les liens vers chaque billet. C’est bien pour ça que je ne l’avais pas fait pour 2020, avec les liens vers chaque billet :



L’arbre d’obéissance, par Joël Baqué, aux éditions POL,

Grande Tiqueté, d’Anne Serre, aux éditions Champ vallon,

Cinéma de l’affect, de Sandra Moussempès, aux éditions de l’Attente,

Monotobio, d’Eric Chevillard, aux éditions de Minuit,

If, de Marie Cosnay, aux éditions de l’Ogre,

Ustrinkata, d’Arno Camenisch, chez Quidam éditeur,

Mauvais œil, de Marie Van Moere, aux éditions des Arènes,

Au pays des poules aux œufs d’or, d’Eugène Savitzkaya, aux éditions de Minuit,

First nation, suivi de My America, de Phyllis Yordan, aux éditions Jou,

Neige silencieuse, de Conrad Aiken, aux éditions La Barque,

Les Barbares, de Jacques Abeille, aux éditions Attila,

L’audace, de Pascale Petit, aux éditions Nous,

Ce qui tombe, de Cati Roman et Fabien Drouet, illustré par Ursula Caruel, aux éditions Gros Texte,

L’exercice de la disparition, de Mathieu Brosseau, aux éditions Le Castor Astral,

Trencadis, de Caroline Deyns, chez Quidam éditeur,

Kree, de Manuela Draeger, aux éditions de l’Olivier,

Zoologiques, d’Eric Chevillard, aux éditions Fata Morgana,

Coupe courte, de Julien d’Abrigeon, aux éditions LansKine,

Le Dormeur, de Didier da Silva, chez Marest éditeur,

Le sens du calendrier, de Nathalie Léger-Cresson, aux éditions des femmes-Antoinette Fouque,

Catastrophes, de Pierre Barrault, chez Quidam éditeur,

Bruit dedans, d’Anna Dubosc, chez Quidam éditeur,

Chronique de Matsunoé, d’Enjoh Toe, aux éditions La Ronde de Nuit.

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