samedi 30 avril 2022

Une (petite) année 2017 de lectures

C’était tellement fastidieux de récapituler mes années de lecture 2021, 2020, 2019 et 2018 avec les liens vers chaque billet de lecture (souvent minuscules), que j’aurais bien pu omettre de le faire pour 2017. Mais tout de même :


Le chronométreur, de Pär Thörn, chez Quidam éditeur,

Rhapsodie curieuse, d’Alexander Dickow, aux éditions Louise Bottu,

Rhizome, de Christophe Stolowicki, aux éditions Passages d’encres,

Ronce-Rose, d’Eric Chevillard, aux éditions de Minuit,

La mer c’est rien du tout, de Joël Baqué, aux éditions POL,

Ce livre, de Guy Bennett, aux éditions de l’Attente,

Dans le jardin d’un hôtel, de Gabriel Josipovici, chez Quidam éditeur,

Dès l’instant, de Pascal Blondiau, aux éditions Les Carnets du Dessert de Lune,

Chômage monstre, d’Antoine Mouton, aux éditions La Contre-allée,

Au centuple, de Jérôme Lafargue, aux éditions de l’Attente,

Un souffle sauvage, de Jérôme Lafargue, aux éditions du Sonneur,

Les étoiles s’éteignent à l’aube, de Richard Wagamese, aux éditions Zoé,

Cyril, de Didier da Silva, aux éditions Ekphrasis,

Ruminations du potentiel, de Jacques Jouet, aux éditions Nous,

Décor Daguerre, d’Anne Savelli, aux éditions de l’Attente,

L’Apparition, de Perrine Le Querrec, aux éditions Lunatique,

L’été-machine, de John Crowley, dans la collection Points,

Black Village, de Lutz Bassmann, aux éditions Verdier,

Cent onze haikus de Basho, aux éditions Verdier,

La fonte des glaces, de Joël Baqué, aux éditions POL,

Les scandaleuses privautés de mon ami Terrier, de Jean-François Paillard,

Défense de Prosper Brouillon, d’Eric Chevillard, aux éditions Notabilia,

A tous les airs, de Stéphane Vanderhaeghe, chez Quidam éditeur,

Le capital sympathie des papillons, de Nadia Porcar, aux éditions Isabelle Sauvage,

Essai sur le fou de champignons, de Peter Handke, aux éditions Gallimard,

Un abrégé du monde, de Pierre Bergounioux, aux éditions Fata Morgana.

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