C’était tellement fastidieux de récapituler mes années de lecture 2021, 2020, 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013 et 2012 avec les liens vers chaque billet de lecture (et ici même avec les liens vers chacune desdites années), que j’ai failli omettre de le faire pour 2011. Mais tout de même :
– Discographie, de Frédéric Forte (éditions de l’Attente)
– Une petite forme, de Didier da Silva et François Matton (POL)
– Dino Egger, d’Eric Chevillard (Minuit)
– Montparnasse Monde, de Martine Sonnet (Le Temps qu’il fait)
– L’automne zéro neuf, de Didier da Silva (Leo Scheer)
– Les côtés cachés, de Pascale Petit (Action poétique)
– Cloués au port, de Jacques Josse (Quidam)
– Moinous et Sucette, de Raymond Federman (Al dante)
– Attachements, de Victoria Horton (Quidam)
– Moo Pak, de Gabriel Josipovici (Quidam)
– La Présence, de Pierre Jourde (Les Allusifs)
– Le Pourceau, le diable et la putain, de Marc Villemain (Quidam)
– Isabelle à m’en disloquer, de Christophe Esnault (Les doigts dans la prose)
– Extravague, de Xavier Person (Le bleu du ciel)
– Je(s), de Denis Guillec (Les Carnets du dessert de lune)
– Tu ne mourras pas, de Bénédicte Heim et Edmond Baudouin (Les Contrebandiers)
– Djinn John, de David Lespiau (éditions de l’Attente)
– Christie Malry règle ses comptes, de B.S. Johnson (Quidam)
– Loque (une élégie), de Dominique Quelen (Fissile)
– Grèbe, de Fred Léal (éditions de l’Attente)
– Le corps de l’autre, de Georges-Olivier Châteaureynaud (Grasset)
– Voyage vers le Nord, de Karel Čapek (Le Sonneur)
– Rome, regards, de Rolf Dieter Brinkmann (Quidam)
– Quitte ou double, de Raymond Federman (Al dante)
– Chiens écrasés, d’Eric Chevillard (Le Tigre)
– Exquise Louise, d’Eugène Savitkaya (Minuit)
– Renégat, roman du temps nerveux, de Reinhard Jirgl (Quidam)
– So long, Louise, de Céline Minard (Denoël)
– Précis de nos marqueurs mobiles, de Pierre Parlant (éditions de l’Attente)
– B.S. Johnson, Histoire d’un éléphant fougueux, de Jonathan Coe (Quidam)
– Carénage, de Sylvain Coher (Actes-Sud)
– La lettre de Buenos Aires, de Hubert Mingarelli (Buchet-Chastel)
– L’année de l’hippocampe, de Jérôme Lafargue (Quidam)
– Les unités, de Sabine Bourgois (Un comptoir d’édition)
– Les oiseaux de paradis, de Lise Beninca (Joëlle Losfeld)
– Sharawadji Manuel du jardinier platonique, de Pascale Petit (L’inventaire)
– Nos cheveux blanchiront avec nos yeux, de Thomas Vinau (Alma)
– Futur fleuve, d’Emmanuel Rabu (Léo Scheer)
– Les Ales, de Céline Minard et Scomparo (Cambourakis)
– L’o de trous, d’Aurelio Diaz Ronda (le grand os)
– Hannibal tragique, suivi de Hannibal domestique, de Joseph Mouton (Les petits matins)
– Ce vieil air de blues, de Cécile Beauvoir (Le temps qu’il fait)
– Entre chagrin et néant, de Marie Cosnay (Cadex)
– Iguanes et moines, d’Eric Chevillard (Fata Morgana)
– Deux étages avec terrasse et vue sur le détroit, d’Emmanuel Hocquard (Echo & co)
– Le son de ma voix, de Ron Butlin (Quidam)
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