Tiens, pour finir l’année ; les titres qui ont suscité un billet sur ce blog depuis janvier dernier :
– Arlequinus Arlequinus, d’Enjoh Toe, traduit du japonais par Sylvain Cardanel, aux éditions La Ronde de Nuit.
– Derrière la gare, d’Arno Camenish, traduit du suisse allemand par Camille Luscher, chez Quidam éditeur.
– Isola, de Joëlle Varenne, aux éditions Médiapop.
– Mon citronnier, de Samantha Barendson, aux éditions JC Lattès.
– Comme un morceau de nuit, découpé dans son étoffe, de Deborah Heissler, chez Cheyne éditeur.
– La folie de ma mère, d’Isabelle Flaten, aux éditions Le Nouvel Attila.
– nique, d’Ana Tot, aux éditions Louise Bottu.
– Cassandre à bout portant, de Sandra Moussempès, aux éditions Flammarion.
– Finir les restes, de Frédéric Fiolof, chez Quidam éditeur.
– Déblais, d’Alexander Dickow, aux éditions Louise Bottu.
– Détails II, suite et fin, de Marcel Cohen, aux éditions Gallimard.
– Le premier souper, d’Alexander Dickow, aux éditions La Volte.
– Hotel Andromeda, de Gabriel Josipovici, traduit de l’anglais par Vanessa Guignery, chez Quidam éditeur.
– La mort de Masao, de Didier da Silva, chez Marest éditeur.
– Tes ombres sur les talons, de Carole Zalberg, aux éditions Grasset.
– Sez Ner, d’Arno Camenish, traduit du suisse allemand par Camille Luscher, chez Quidam éditeur.
– La fille que ma mère imaginait, d’Isabelle Boissard, aux éditions Les Avrils.
– Nous allons perdre deux minutes de lumière, de Frédéric Forte, aux éditions POL.
– Autoportrait, d’Edouard Levé, aux éditions POL.
– Les filles de Monroe, d’Antoine Volodine, aux éditions du Seuil.
– Vie du poème, de Pierre Vinclair, aux éditions Lignes intérieures.
– Esquisses de la poussière, de Jean-Pierre Le Goff, aux éditions des Grands Champs.
– Plasmas, de Céline Minard, aux éditions Rivages.
– Des îles, Lesbos 2020 Canaries 2021, de Marie Cosnay, aux éditions de l’Ogre.
– Amoureuse ? d’Estelle Fenzy, aux éditions La Boucherie Littéraire.
– Tu m’aimes-tu ? de Samantha Barendson, aux éditions Le chat polaire.
– Entre les lignes, d’Estelle Dumortier et Bernard Ciancia, aux éditions La rumeur libre.
– Promenades avec le déplaisant P., d’Olivier Hervy, aux éditions Denis.
– On peut boire la transpiration d’un cheval, d’Antoine Boute & co, aux éditions Les petits matins.
– Les joies simples, de Félicie Dubois, aux éditions François Bourin.
– Remerciements, de Guy Bennett, traduit de l’américain par Frank Smith et l’auteur, aux éditions de l’Attente.
– j’aurai été, de Marc-Émile Thinez, aux éditions Louise Bottu.
Je comprends pourquoi je n’ai jamais fait ce genre de billet récapitulatif jusqu’à présent : c’est très fastidieux. Notamment tous ces liens à insérer. Surtout que plus personne ne clique sur les liens.
Il faudra quand même que je le fasse aussi pour l’année 2020 ; 2020 c’était compliqué aussi pour les livres.
Et puis l’année 2019, ça me rappellera des souvenirs.
Et puis les précédentes, tiens.