Sa face
de brute ne trompe pas, ni sa batte de base-ball : c’est avec une
brutalité inouïe – quoique quelque peu mécanique –
qu’il entreprend de la battre. Elle, de son côté, ne s’en fait pas.
Juste un gémissement, un déhanchement, toujours le même ; c’est clair :
il ne lui arrivera rien. Regardez-le qui
s’obstine, inconscient de l’inefficacité de ses coups toujours
identiques. Regardez sa tête de brute, comme elle coulisse
curieusement, à chaque coup de batte, de gauche à droite, sur ses épaules.
En tout cas, je vous lis de la sorte.
Oui, vraiment, elle a du caractère.
Hauts Plateaux : une clé cachée, l'oiseau seul a accés.
C'est simple : il est l'oiseau
Fayçal, vous avez lu le billet Vdhp arbitrairement 4 ? ou êtes-vous voyant ? Les deux peut-être...
Merci pour ces apostrophes et exlamation (les oiseaux d'irene). C'est là que je me suis dit : tiens, un enfant.
Sourire d'âme partagé, Philippe
Merci, Fayçal.