mardi 5 janvier 2021

Attrape l’Arlequinus

C’est quand même une expérience étrange, la lecture d’Enjoe Toh. Oui, après Chroniques de Matsunoé, je viens de lire Arlequinus Arlequinus, publié par la même Ronde de nuit et traduit par le même Sylvain Cardonnel. On n’est pas sûr de comprendre ce qu’on lit – ce qui a valu à la moitié du jury du prix Akutagawa de démissionner tout en couronnant Enjoe Toh, nous raconte Sylvain Cardonnel dans l’avant-propos ; on n’est pas sûr de comprendre ce qu’on lit et on continue quand même et même après, il y a encore, comment dire, mais oui, comme des œufs pondus dans mon esprit qui éclosent, et dont s’échappent des idées difficiles à attraper comme des papillons, il y faudrait un filet un argent, c’est une bonne idée, c’est une idée d’Enjoe Toh, et c’est le sujet, précisément, c’est le sujet de Arlequinus Arlequinus.




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