« Cette
forêt est l’ancien parc du château. Des cartes des années 1900 nous
enseignent ce qu’on ne saurait soupçonner
maintenant : que du temple de l’Amour, on pouvait apercevoir le
château de la Duchesse d’Uzès, la « sportwoman » aux deux mille cerfs,
qui faisait de la publicité pour la
Phosphatine Fallières et qui, paraît-il, détestait les fleurs. »
Cet usage caractéristique des deux points devant conjonctive ne laissent aucun doute : nous sommes bel et bien sur les
traces de Pascale Petit, échappée de Sharawadji
et arpentant le Parc de
Bonnelles, dans le cadre d’un lâcher de poètes organisé par la
Maison de la poésie de Saint-Quentin dans le Parc naturel régional de la
Haute Vallée de Chevreuse. Elle y côtoie Sophie
Loizeau et sa Ninon, Roland Nadaus, Mario Urbanet, Hervé Martin, Lydia Padellec.
C’est donc un livre, une promenade
poétique à plusieurs parue aux éditions de l’Amandier. Je vous
aurais bien mis en illustration quelques-unes des photos avec lesquelles
les textes dialoguent, elles sont d’Adrienne
Arth et très sensuelles, mais franchement si je les scanne
ça ne va rien donner ; alors je mets plutôt les miennes, car après tout
ce parc est aussi un peu le mien.
. Délicieux celui de Gilbert Pinna
. Votre réponse ne l'est pas moins.
(De la fraîcheur dans ce monde de...)