Son identité variable m’a toujours retenu – Giraud, Gir, Mœbius bien sûr mais
même et encore à l’intérieur même de Mœbius (identité graphique variable). Et cette façon de laisser la fiction vivre sa propre aventure (je pense notamment au Monde
d’Edena)
ou ce plaisir de prendre les mots au pied de la lettre.
On se sent un peu perdu. Comme un quidam.
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