... c'est à lire ici,
et c'est signé
Philippe Annocque, Claro, Nathalie Lacroix, Laure Limongi,
Lionel-Edouard Martin, Vincent Monadé, Romain Verger et Marc Villemain.
Bravo pour ce texte : il est plus que temps que les écrivains et
les "intellectuels germano-pratins", qui ont été vilipendés tout au long
du quinquennat de NS, affichent leur engagement
politique à la veille du changement.
Ce n'est pas la piètre comédie vue hier soir sur Canal + (NS en
direct dans "Le Grand Journal") qui suffira à redorer le blason d'un
chef de l'Etat qui ose dire - son humour le trahit - que
"c'est Carla qui m'a appris à lire et à compter" et qui a sabré
dans la culture comme il l'a fait dans les services publics.
NS a toujours cru d'ailleurs qu'au Salon de l'agriculture, la culture elle-même était représentée dans la deuxième partie du mot et que les
livres présentaient cette forme de grosses bottes de paille.
Il n'avait simplement pas senti la poutre (penchant à l'extrême
droite) qu'il avait dans l'oeil, mais plus pour très longtemps.
Il prétend lire. Comme je ne peux l'entendre parler sans hérissement
du poil, je l'ai entendu ergoter sur "La confusion des sentiments" de
Zweig avec la sincérité de celui qui a révisé ses notes
sur le "pitch" de la nouvelle et n'est plus très sûr de sa mémoire.
Dé-lire
Commentaire n°5
posté par
Zoë Lucider
le 17/03/2012 à 16h18
Ce n'est pas la piètre comédie vue hier soir sur Canal + (NS en direct dans "Le Grand Journal") qui suffira à redorer le blason d'un chef de l'Etat qui ose dire - son humour le trahit - que "c'est Carla qui m'a appris à lire et à compter" et qui a sabré dans la culture comme il l'a fait dans les services publics.
NS a toujours cru d'ailleurs qu'au Salon de l'agriculture, la culture elle-même était représentée dans la deuxième partie du mot et que les livres présentaient cette forme de grosses bottes de paille.
Il n'avait simplement pas senti la poutre (penchant à l'extrême droite) qu'il avait dans l'oeil, mais plus pour très longtemps.