Alors comme ça les primaires à
gauche c’est pas automatique ? (Enfin à gauche, je veux dire au PS ;
disons à droite moins à droite que la droite qui est plus à droite sans être
pour autant autant à droite que la droite qui l’est encore plus.) Sous prétexte
que l’actuel président en est (on ose plus dire de quoi), il faudrait
nécessairement qu’il soit présent aux élections suivantes ? (Dans président
se cache présent.) Et il faudra qu’on attende son aval pour en
décider ? Ce levier ramassé quasi par hasard juste pour extraire le
Sarkozy malencontreusement planté dans notre plafond, et qui n’aurait
probablement jamais été élu sans l’aveugle obstination dudit (oui, Sarkozy, ne
m’obligez pas à répéter) à se représenter, devrait légitimement être le
candidat propre à incarner les aspirations de toute la gauche vraiment
socialiste ?
Incarner, voilà le problème. On
en viendrait à honnir les personnes, quand ce sont les idées qui comptent. Vous
avez compris ce que je pense de la Ve République.
En attendant, question : Qui doit décider de la
nécessité de primaires à gauche ?
Hélas! Je lis votre billet et mon regard glisse vers la droite, vers la couverture de "Pas Liev" et vous voyez, politiquement parlant, je me sens des analogies avec le personnage représenté...
RépondreSupprimerTiens oui, moi aussi.
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