La littérature, c’est foutu.
C’est la faute à ces étoiles de sang l’autre jour dans le métro, et c’est devenu mon sixième et donc dernier article hélas, à lire sur Mélico, un grand cri d’espoir on l’aura compris, où outre le sang sur le noir du goudron il est aussi question de l’image de la littérature, celle qu’on veut bien en donner en cette saison entre rentrée et prix, de ce que je pense des jurys et des comités, et du signal d’alarme dans mon train indifférent dont je n’ai jamais su la cause.
Commentaires
Vous? Dans la rubrique des chiens écrasés? VOUS?? .... VOUS???
Commentaire n°1
posté par
Depluloin
le 28/09/2011 à 17h54
Ah non, les chiens écrasés, c'est Eric Chevillard, avec la complicité de Sylvain Honhon.
Réponse de
PhA
le 28/09/2011 à 18h05
... alors, Capri c'est (vraiment) fini ?
Commentaire n°2
posté par
Gilbert Pinna
le 28/09/2011 à 18h04
Réponse de
PhA
le 28/09/2011 à 18h24
Un siècle et demi, ça me va.
Commentaire n°3
posté par
Didier da
le 30/09/2011 à 14h09
Oh, j'ai dit un siècle et demi pour être sûr de ne pas y assister mais avec ma santé d'enfer, va savoir.
Réponse de
PhA
le 30/09/2011 à 14h19
Sur Mélico, cet article champion.
Commentaire n°4
posté par
Dominique Hasselmann
le 01/10/2011 à 11h13
N'est-ce pas que c'est une bonne nouvelle ? Personnellement je m'en
réjouis : c'est souvent quand tout est foutu qu'il se passe de belles
choses.
Réponse de
PhA
le 01/10/2011 à 21h20