La revue La Faute à Rousseau,
publiée par l’APA (Association pour l’autobiographie et le Patrimoine Autobiographique) consacre son nouveau numéro (le 67 donc) à la Grande Guerre,
et nous fait le plaisir d’un très bel article signé Elizabeth Legros Chapuis sur
les échanges que nous entretenons à travers le siècle, Mon jeune grand-père
et moi, faute d’avoir pu nous rencontrer.
Philippe et Edmond Annocque
Vous devriez pouvoir lire
l’article en cliquant sur les images ci-dessous (plutôt un clic droit pour la première page, Blogspot a encore des secrets pour moi), et bien sûr Mon jeune
grand-père sur ces Hublots, en cliquant ici, ou bien sur le Hublot pour mon
jeune grand-père dans la colonne à droite de ce blog.
Je me disais aussi, qu'en cette année de commémorations de la Grande Guerre, "Mon jeune grand-père" méritait absolument d'être cité.
RépondreSupprimerBravo!
(Si on clique sur Mon jeune grand-père dans la colonne de droite, on ne tombe que sur la lettre 53. Pour avoir tous les billets il faut cliquer dans vos libellés : Hublot pour mon jeune grand-père :
http://hublots2.blogspot.fr/search/label/Hublot%20pour%20mon%20jeune%20grand-p%C3%A8re
je-dis-ça-je-dis-rien:-))
Merci Ambre. (Du coup j'ai descendu les archives du blog en bas de la colonne pour éviter la confusion.)
SupprimerUne manière étonnante de -finalement- se rencontrer...
RépondreSupprimerOui, c'est dommage qu'elle ne fonctionne que dans un seul sens.
SupprimerElizabeth Legros Chapuis fait remonter ce qui sous-tend ces cartes : "Toutes ces cartes ne diront jamais ce qu' Edmond voudrait dire parce que c'est impossible" (commentaire en italiques du petit-fils Philippe Annocque, cent ans après).
RépondreSupprimerComme ELC, j'ai été frappée, dès que je suis entrée dans la lecture de "Mon jeune grand-père", par cette idée que c'était par leur dématérialisation que l'on avait accès à ces cartes.
Mais je crois que ce qui me marque le plus c'est le fait qu'elles soient écrites au crayon, et c'est vrai que le stylo à bille n'existait pas encore. Je ne sais pas si vous le dites quelque part. Je n'ai pas tout lu de ces cartes (et donc non plus votre propre lecture).
Et je me demande si ce(s) crayon(s) qui a (ont) servi à écrire ces cartes étai(en)t plutôt gras ou plutôt sec(s). Sec(s) sans doute sinon les écrits auraient bavé ou se seraient effacés. Surprise tout de même qu'on puisse lire du crayon cent ans après, effrayée aussi des dégâts qu'aurait pu causer une gomme.
mp
Oui, c'est au crayon sec. Parfois - mais très rarement - on voit qu'Edmond a gommé et réécrit par dessus, et cent après on voit encore les traces de gomme.
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