Puis j’ai lu la Persistance du froid, le « premier roman » de Denis
Decourchelle. Je mets « premier roman » entre guillemets
parce que je n’aime pas beaucoup cette expression qui sent un peu trop
son puceau des lettres et ne veut pas dire
grand-chose. Car de l’écriture, il y en a sûrement eu beaucoup pour
parvenir à cette Persistance du froid, un de mes plus beaux coups de cœur chez Quidam. S’il y avait une justice, ce
livre aurait dû rencontrer bien plus qu’un succès d’estime. Et moi j’ai bien envie d’en lire d’autres, du même auteur.
(Pour ceux qui ont bien suivi, il n’y a qu’un lien, alors on ne fait pas son frileux, on clique sur la Persistance du
froid pour en lire un extrait et les quelques mots que j’en
disais à l’époque. (Et une fois là, comme on est déjà réchauffé, on
clique de nouveau sur le titre pour tomber sur la page de
Quidam où l’on pourra lire et écouter plein d’avis de personnes de
bon goût, et même écouter l’auteur lui-même.))
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