jeudi 20 novembre 2008

Vie des hauts plateaux (arbitrairement 4)

Elle penche la tête en avant, se baisse et met un genou en terre.
De la main elle ramasse l’objet qu’elle porte à ses yeux, et murmure une approbation sur deux notes.
Pourtant j’ai bien vu qu’il n’y avait
rien dans sa main.



Commentaires

Ça me plaît ! J’adore, car mine de rien, c’est drôlement ouvert comme billet. Le précédent, curieusement, ne m’emballe pas autant, pourtant il semble remporter les suffrages…
Commentaire n°1 posté par Pascale le 20/11/2008 à 18h22
Ouvert ? C'est que tu as trouvé la serrure...
Commentaire n°2 posté par PhA le 20/11/2008 à 20h35
Etant donné que je me réincarnerai en oiseau, la clé des champs, je la trouve tout de suite en lisant ce genre de choses...
Commentaire n°3 posté par Pascale le 20/11/2008 à 23h28
Une figure gracieuse qui se termine en pirouette, tout comme j'aime. Joli petit interlude à clef !
Commentaire n°4 posté par pascale (l'autre) le 21/11/2008 à 09h50
Abondance de Pascale...
Commentaire n°5 posté par PhA le 21/11/2008 à 20h43
... de Pascaux (sourire)...
Commentaire n°6 posté par Pascale le 22/11/2008 à 08h39
 

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