Moi
qui n’aime pas tellement les carottes habituellement, j’ai trouvé cette
soupe délicieuse. Il y avait un je-ne-sais-quoi
d’invisible à l’œil mais qui changeait tout – et s’est avéré être de
l’orange, pour ceux qui croyant lire un billet culinaire, une fois
n’est pas coutume, seraient déçus par la suite. Or c’est
juste la question de l’horizon d’attente qui m’anime, car l’un des
fistons n’a pas aimé ce délicat velouté : il y avait un goût bizarre
qu’il n’a pas accepté même après identification. Ça
n’allait pas avec ce qu’il voyait : de la soupe de carottes. C’était
autre chose. Certes c’était autre chose, et autre chose souvent rebute.
Dans l’assiette comme dans les pages.
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