"Là réside la réussite : quand tant de dramaturges produisent des machines poussives destinées à représenter la folie (on les reconnaît à ce que le spectateur est mal à l'aise pour le comédien qui se tord sur scène et pas du tout pour l'état mental du personnage qu'il joue), il semble que le jeu de désordonnement du monde d'Annocque fonctionne à merveille", peut-on lire sous la plume du Préfet maritime sur L'Alamblog tandis que Fiolof, dans La Marche aux pages, trouve que "Pas Liev est aussi un roman puissant sur la solitude, l’aliénation, les souffrances ravalées qui n’ont pas trouvé le chemin des mots".
Je ne vais plus savoir où me mettre. Heureusement, peut-être, que je ne suis pas Annocque.
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