A Noël, il arrive que le cadeau soit
le papier lui-même, pourvu qu’il soit beau. On peut dire que Liev est gâté, jugez
plutôt. (C’est dans Libération, sous la plume de Jean-Didier Wagneur. On
peut aussi lire l’article en ligne sur le site du journal.)
Je vous souhaite d’aussi belles fêtes.
Une vraie joie de lire tous ces articles qui mettent votre ouvrage à l'honneur, pour accompagner un auteur que j'aime.
RépondreSupprimerVotre sapin brille de mille étoiles!
Merci beaucoup Ambre. J'ai conscience de ma chance, rare pour un écrivain aujourd'hui, d'être vraiment très bien lu, faute de l'être beaucoup. Mais avoir les deux est-il possible ?
SupprimerJustement, lisant votre réponse à Ambre, m'est venue à l'esprit ce vieux souvenir de Prévert : "de deux choses l'une, l'autre c'est le soleil". Vous êtes plutôt côté "l'une", Philippe, l'éclairage est plus mystérieux et plus poétique mais moins répandu.
RépondreSupprimerC'est Noël, je dis un peu n'importe quoi.
Ce n'importe quoi est un joli message de Noël en tout cas, merci !
SupprimerHélas! le "m'est venue" n'est pas le fait d'avoir trop fêté Noël! Toutes mes excuses.
RépondreSupprimerMais l'esprit de Noël me l'avait bien dissimulé.
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