Non : « l’histoire » d’un roman n’est pas son sujet. « L’histoire » est un procédé qui tend à donner forme au sujet – souvent,
une forme accessible. « L’histoire » est bien du côté de la forme.
Certains auteurs ont une fâcheuse tendance à privilégier la forme au détriment du reste. On les traite, non sans un certain dédain, d’écrivains formalistes. Les plus extrémistes d’entre eux ne s’attachent qu’à cet aspect souvent ingrat de la forme que, pour le rendre plus séduisant, on appelle « l’histoire ». Cette histoire, à leurs yeux, vaut pour l’œuvre. Elle se suffit à elle-même.
Parmi les plus fameux de ces dangereux extrémistes, pour que les choses soient claires, citons par exemple Marc Lévy et Guillaume Musso.
Certains auteurs ont une fâcheuse tendance à privilégier la forme au détriment du reste. On les traite, non sans un certain dédain, d’écrivains formalistes. Les plus extrémistes d’entre eux ne s’attachent qu’à cet aspect souvent ingrat de la forme que, pour le rendre plus séduisant, on appelle « l’histoire ». Cette histoire, à leurs yeux, vaut pour l’œuvre. Elle se suffit à elle-même.
Parmi les plus fameux de ces dangereux extrémistes, pour que les choses soient claires, citons par exemple Marc Lévy et Guillaume Musso.
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