Bien sûr que je fais de la fiction. Non parce que j’invente ce que j’écris, mais parce qu’à chaque fois je suis tenté de faire
comme si la littérature n’existait pas encore (et accessoirement comme si je n’existais pas encore).
Commentaires
Devant certains livres, c'est l'affliction qui saisit.
Commentaire n°1
posté par
Dominique Hasselmann
le 31/01/2011 à 08h50
Et les âmes en peine errent parmi les gondoles.
Réponse de
PhA
le 01/02/2011 à 22h43
Une seule solution : la dislocation.
Commentaire n°2
posté par
Gilbert Pinna
le 31/01/2011 à 19h24
Quand j'étais petit on me disait hyperlaxe. Est-ce un avantage ?
Réponse de
PhA
le 01/02/2011 à 22h45
Et voilà la recette! enfin! (Mais c'est le cap le plus difficile à franchir sans doute...)
Commentaire n°3
posté par
Depluloin
le 01/02/2011 à 12h31
Oh, avec un bon trou de mémoire, comme dirait Monsieur Jones...
Réponse de
PhA
le 01/02/2011 à 22h46
L'enfant, la création, la nécessité de l'oubli.
Commentaire n°4
posté par
albin
le 01/02/2011 à 19h20
Sans l'oubli, rien de possible.
Réponse de
PhA
le 01/02/2011 à 22h48
Je reste , coi. Pourquoi, pour un je ne sais quoi, pour rien ,
trois fois rien. C'est déjà quelque chose. Une ironie flotte, un léger
nuage, un écran de fumée tendre entre fiction et
réalité. J'aime bien la fiction .Elle permet de s'accoutumer à la
réalité qui la dépasse , toujours.
Commentaire n°5
posté par
patrick verroust
le 01/02/2011 à 23h22
La réalité ? C'est quoi ?
Réponse de
PhA
le 03/02/2011 à 09h24
Ce qui est intéressant aussi c'est cette zone frontalière où la
différence s'efface entre ce qui est vécu et ce qui est imaginé.
Commentaire n°6
posté par
marie guegan
le 02/02/2011 à 21h33
Sait-on jamais ce qui est vécu...
Réponse de
PhA
le 03/02/2011 à 09h26