J’ai beaucoup en commun avec Manuel Valls et Jean-François Copé : l’âge, le physique avantageux, et surtout un doute profond
concernant mon existence, que je tente furieusement de guérir par des phrases.
Commentaire n°5
posté par
Zoë
le 06/01/2011 à 22h33
Celui qui parle à tort et à travers pour se donner l'illusion
d'exister (et surtout pour le faire croire à autrui) sait bien au fond
de lui-même ce qu'il en est réellement, dit le sage. Bref, ces
deux-là sont des héros tragiques auxquels on ne saurait jeter la
pierre : elle les traverserait sans les atteindre.
On n'a pas fini d'é-Copé ? Laisse aller, c'est un Valls ?
Bah, faute d'un candidat ad hoc, pourquoi pas Annocque président...
(pardon, quand je suis de bonne humeur, je fais des jeux de mot lamentables)
Mais c'est quoi ton programme, d'abord ?
Commentaire n°7
posté par
Didier da
le 07/01/2011 à 06h57
Méfie-toi : quand j'avais cinq ans j'étais de droite et je voulais
être président des Etats-Unis d'Europe (un peu comme Napoléon, quoi).
(J'adore les jeux de mots lamentables.)
Valls s'est déconsidéré une fois de plus et n'a donc pas surpris.
Copé, sa forfanterie nous fait marrer à chaque fois (mais avoir viré Dominique Paillé est un acte lucide).
Alain Duhamel aurait, en fait, besoin d'un remplaçant : monsieur Le Comte ne postule-t-il pas à cette fonction ? Les prébendes dudit sont
nombreux.
Alain Duhamel me fait remarquer que "prébendes" s'écrit au féminin :
ayant peu l'habitude d'en accepter, je reconnais avoir fauté sur le
plan orthographique.
Moi je vois une grande différence, qui vous éloigne absolument de
ces deux-là : ils portent la cravate, et vous le noeud-pap (en tout cas
Monsieur le Comte). Cela change toute la nature du doute
(qui s'étrangle, ou volète).
Commentaire n°10
posté par
Florence
le 07/01/2011 à 11h10
Monsieur Le Comte est bien trop léger en effet pour se laisser cravater.
Euh... Monsieur Le Comte a l'œil... et le bon! ?? ... Mieux sapé?
... (J.-P. Raffarin vient de proposer ses services! Doit y en avoir
quelques-uns qui doivent faire la gueule!! Oh c'est
passionnant! passionnant!! ... )
Commentaire n°11
posté par
Depluloin
le 07/01/2011 à 11h43
(Chouette feuilleton en effet - même si les scénaristes ont tendance à un peu abuser des mêmes ficelles.)
Vous implicitez que le doute serait une maladie - puisqu'on pourrait
en "guérir". Je ne peux vous suivre sur ce terrain infectieux.
(Copé est une maladie, ça oui, et Valls un microbe.)
Commentaire n°13
posté par
r1
le 08/01/2011 à 19h51
C'est la version officielle. En réalité, j'éprouve à l'égard du
doute une délectation morbide. Ah flûte, j'implicite encore !
(Donc si un Valls pénètre notre organisme, nous risquons de développer un Copé ? Et c'est sans doute contagieux ?)
Bah, faute d'un candidat ad hoc, pourquoi pas Annocque président...
(pardon, quand je suis de bonne humeur, je fais des jeux de mot lamentables)
Mais c'est quoi ton programme, d'abord ?
(J'adore les jeux de mots lamentables.)
Copé, sa forfanterie nous fait marrer à chaque fois (mais avoir viré Dominique Paillé est un acte lucide).
Alain Duhamel aurait, en fait, besoin d'un remplaçant : monsieur Le Comte ne postule-t-il pas à cette fonction ? Les prébendes dudit sont nombreux.
(Copé est une maladie, ça oui, et Valls un microbe.)
(Donc si un Valls pénètre notre organisme, nous risquons de développer un Copé ? Et c'est sans doute contagieux ?)
Non, tout cette figuration politique oblige à porter un masque.