... ouf ! j'ai donc le droit d'écrire ce que je pense des rappels au "devoir de réserve" d'Eric Raoult à l'égard de Marie
NDiaye, et plus largement de la politique menée par ses amis dans notre beau pays (pays,
je trouve, est un joli
mot). J'en ai le droit et si je ne le fais pas, c'est sûrement par
lassitude, et parce que ça risquerait d'écorcher ma plume. D'ailleurs le Chasse-Clou fait ça mieux que moi*.
(Sans blague, je voulais mettre une photo et, toujours aussi maladroit, j'ai appuyé sur la touche "suppr". Windows, sur le ton scrupuleux qu'on lui connaît, m'a proposé : "Voulez-vous vraiment envoyer Eric Raoult à la corbeille ?" Je n'ai pas su résister.)
* Et Claro aussi, dont je découvre le billet à l'instant.
(Sans blague, je voulais mettre une photo et, toujours aussi maladroit, j'ai appuyé sur la touche "suppr". Windows, sur le ton scrupuleux qu'on lui connaît, m'a proposé : "Voulez-vous vraiment envoyer Eric Raoult à la corbeille ?" Je n'ai pas su résister.)
* Et Claro aussi, dont je découvre le billet à l'instant.
Mais il y a un léger décalage que je tiens à souligner, les propos de Marie N'Diaye étaient tenus en août, et elle n'était pas encore remarquée par le prix Goncourt à l'époque. Ce n'est probablement qu'un "détail de l'histoire", encore...
Entre les tapettes de Douillet, le pauv'con du président et ce cher Raoult qui s'est aussi distingué la semaine dernière en Tunisie, plus rien ne les retient, tout va bien. Douce France...
Pour le reste, voir Flaubert.
Voilà inventée la distinction future qui vous oblige dans le passé (c'est de la religion, rien d'autre. La foi en devoir de réserve).