Bien sûr que je continue à relire Kafka. Après Description d’un combat, j’ai relu Contemplations, dont je n’ai rien dit car j’ai juste retrouvé les mêmes sensations qu’à ma relecture de Description d’un combat – et quelques passages, car il y en a en commun. Enjambant allègrement le Verdict et la Métormorphose relus récemment et d’autres textes que je relirai plus tard, je me suis embarqué derechef pour l’Amérique et n’ai pas encore fini mon voyage, tout en attachements et détachements excessifs (avec le chauffeur, avec l’oncle, avec le père et la fille Pollunder, avec Delamarche et Robinson), cet excès entaché de culpabilité intrinsèque que révèle la logique des rêves. J’y retourne.
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