A Bruxelles, lire est un besoin
pressant.
Chez Ptyx, par exemple.
Qui défend le meilleur de la
littérature, et donc Pas Liev, cliquez donc.
Rappelons que Pas Liev
aussi est avant toute chose l’histoire d’un besoin pressant :
C’était en plein milieu des
champs. Il n’y avait pas de relief. Juste quelques bosquets, assez loin.
A un angle du carrefour, la Croix
Saint-Charles était petite, en fer forgé, coulée dans un socle en béton. La
peinture blanche, sans doute récente, s’écaillait déjà. En arrêtant son
véhicule, le chauffeur du car avait claironné : « C’est un arrêt
exceptionnel ! » Liev l’avait remercié.
En regardant la croix, Liev s’est
souvenu qu’il avait oublié d’aller aux toilettes, avant de sortir du cinéma. Il
n’y avait personne en vue. Mais il ne pouvait pas faire là.
Pour le reste, Bruxelles, c’est
un peu comme Londres et Barcelone :
Il y a des perroquets. (Oui :
on les entend mieux qu’on ne les voit.)
Vu le site de "Ptyx" (et lu quelques "critiques")... Une certaine idée du paradis :)
RépondreSupprimerAh oui ! Ptyx fait partie de ces librairies qui n'existeraient qu'en rêve si elles n'existaient pas aussi dans la réalité.
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