Je
le reconnais : de temps en temps, j’en ai assez du collège. Enfin, du
collège ; je devrai dire : de
l’Education nationale. Et de plus en plus souvent depuis les coups
de boutoirs qu’elle a reçus de Claude Allègre d’abord, puis et surtout
de la clique à Sarkozy. Dans ces moments-là, je me
dis : Heureusement qu’il y a les élèves. Et parfois, il y a aussi
les témoignages d’anciens, qui font chaud au cœur. C’est dans les commentaires, tout en bas de ce billet de Dominique Hasselmann,
vieux de près d’un an et illustré, jolie coïncidence, de la photo qui a servi à mon portrait géant d’hier. (Tiens, ça
me rappelle que moi aussi, j’ai eu un professeur d’exception, qui l’est toujours, et dont j’ai le bonheur de pouvoir lire les livres. La transmission, ça n’est pas le domaine réservé des mécaniciens automobile et des télépathes.)
Courage, Philippe ! En supposant qu'il s'agisse de courage...
(Oui, je ne sais pas bien si c'est exactement du courage ou si ça n'est pas plutôt devenu une sorte de seconde nature.)
Mais quand ils se produisent, on (se) signe !