Pour le nouvel an, les Singes rouges sont encore une fois à la fête, dans Libération, grâce à Jean-Didier Wagneur : « … Moments d’extase matérielle ou de réalisme magique, destins croisés d’une famille sous les tropiques, poids de l’appareil d’État et des bourgeoisies locales, autant de contraintes pour une jeune fille rebelle et « garçonnière » (…), qu’on surveille de près pour éviter le qu’en-dira-t’on. Les Singes rouges est comme la poupée d’Olga, un livre de porcelaine (…), une entreprise d’élucidation personnelle dont le narrateur retient des éclats de mémoire qui scintillent dans chacun de ses textes, la poésie de certains mots (…) et une manière tout insulaire de nouer plusieurs mondes, qu’ils soient personnels, réels ou imaginaires, ce qui est à l’origine même de l’écriture. »
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