Day after day, day after day,
We stuck, nor breath
nor motion ;
As idle as a painted
ship
Upon a painted ocean.
Les jours suivaient les
jours en une vaine attente.
L’immobile bateau
demeurait là, cloué,
Tel une sombre estampe
accrochée, permanente,
Un portrait de vaisseau
sur la mer englué.
Coleridge 1797,
Annocque 1986.
J’en profite pour
rappeler que ma relation au poète anglais fait l’objet d’un
texte dont la première partie est parue récemment dans la revue
Catastrophes, cliquez donc.
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