Alors, sans quitter la peau de David, je me suis pris dans ses bras,
moi le petit Angus, et je me suis emmené chez elle. Elle n’habite
d’ailleurs pas si près, pour une voisine ; nous avons dû
prendre le taxi.
Ça, par exemple, ça fait partie d'un roman que vous ne lirez jamais, je crois. Ou alors juste quelques petits bouts de temps en temps, ici même, parce que ça a beau être raté, on l'aime bien quand même.
raté, raté... Je veux bien, mais bon ! Combien de temps nous faudra-t-il attendre pour avoir le plaisir et l'honneur de lire "la suite" (devrait-elle, même, être en miettes) ?...
RépondreSupprimerJ'en posterai sûrement d'autres passages, à petite dose ça ne me paraît pas trop indigeste - en attendant février, pour la sortie d'un autre roman que j'ai la faiblesse de croire réussi.
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