L'adaptation à un milieu et à un mode de vie comparables finit par
conférer à des espèces dépourvues de parenté (ou de parenté
très éloignée) une ressemblance trompeuse. Ainsi en est-il du
colibri et du moro-sphynx, de l’ichtyosaure et du dauphin, du
ginkgo biloba et de n'importe quel autre arbre dit feuillu. On parle
dans ce cas d'adaptation convergente.
Mais méfiez-vous :
ça n'explique pas du tout la présence troublante d'un p, d'un i,
d'un g et d'un n placés dans le même ordre dans les orthographes du
pigeon et du pingouin.
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