mardi 25 novembre 2025

Le Cimetière à Barnes

C’est un peu idiot, à chaque fois que je lis un roman de Gabriel Josipovici (Contre-jour : Triptyque d’après Pierre Bonnard, Moo Pak, Tout passe, Goldberg : Variations, Infini – l’histoire d’un moment, Dans le jardin d’un hôtel, Hotel Andromeda et maintenant Le Cimetière à Barnes), j’ai l’impression qu’il s’agit du plus grand romancier vivant. C’est complètement idiot, même. Je ne crois pas du tout que « grand » ait un sens. Je n’aime pas tellement les romans. Je suis farouchement opposé à l’utilisation du nom d’une personne, fût-ce celui d’un écrivain, comme label de qualité. N’empêche : à chaque fois que je lis un roman de Gabriel Josipovici (Contre-jour : Triptyque d’après Pierre Bonnard, Moo Pak, Tout passe, Goldberg : Variations, Infini – l’histoire d’un moment, Dans le jardin d’un hôtel, Hotel Andromeda et maintenant Le Cimetière à Barnes), j’ai l’impression qu’il s’agit du plus grand romancier vivant. C’est complètement idiot mais j’ai une excuse : je n’ai pas du tout le temps d’écrire un billet dessus.

(La traduction est de Vanessa Guignery.)



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