Voilà : j’ai manqué suffisamment de temps pour finir dans les temps ce livre sur le temps qui me manquait pour l’écrire. Je
peux partir en vacances.
On me fait gentiment remarquer que mon billet est un peu sibyllin, c'est sans doute vrai, alors je rajoute ici même les
explications nécessaires :
Cela veut dire :
- soit, que j'ai tellement manqué de temps que je n'ai pas eu le temps d'écrire ce livre sur le temps qu'il me manque pour
l'écrire et que donc que le livre n'est pas écrit,
- soit, que j'ai tellement manqué de temps que j'ai eu toute la matière nécessaire pour écrire ce livre sur le temps qu'il me
manque pour l'écrire et que donc le livre est écrit.
Dans l'un ou l'autre cas, comme je pars en vacances et que je vais donc avoir plus de temps, je n'ai donc plus vraiment de
raison d'écrire ce livre sur le temps qu'il me manque pour l'écrire - donc je pars en vacances.
Là-bas?
- soit, que j'ai tellement manqué de temps que je n'ai pas eu le temps d'écrire ce livre sur le temps qu'il me manque pour l'écrire et que donc que le livre n'est pas écrit,
- soit, que j'ai tellement manqué de temps que j'ai eu toute la matière nécessaire pour écrire ce livre sur le temps qu'il me manque pour l'écrire et que donc le livre est écrit.
Dans l'un ou l'autre cas, comme je pars en vacances et que je vais donc avoir plus de temps, je n'ai donc plus vraiment de raison d'écrire ce livre sur le temps qu'il me manque pour l'écrire - donc je pars en vacances.
Bonne vacances, Philippe!
(Bonnes vacances à vous.)
(Merci Gilbert, à vous aussi !)
Je me suis reconnu.
A plus tard au plus tôt
Bon retour!
(D'ailleurs, tiens, ça y est ! - merci)