C’est un peu idiot, à chaque fois que je lis un roman de Gabriel Josipovici (Contre-jour : Triptyque d’après Pierre Bonnard, Moo Pak, Tout passe, Goldberg : Variations, Infini – l’histoire d’un moment, Dans le jardin d’un hôtel, Hotel Andromeda et maintenant Le Cimetière à Barnes), j’ai l’impression qu’il s’agit du plus grand romancier vivant. C’est complètement idiot, même. Je ne crois pas du tout que « grand » ait un sens. Je n’aime pas tellement les romans. Je suis farouchement opposé à l’utilisation du nom d’une personne, fût-ce celui d’un écrivain, comme label de qualité. N’empêche : à chaque fois que je lis un roman de Gabriel Josipovici (Contre-jour : Triptyque d’après Pierre Bonnard, Moo Pak, Tout passe, Goldberg : Variations, Infini – l’histoire d’un moment, Dans le jardin d’un hôtel, Hotel Andromeda et maintenant Le Cimetière à Barnes), j’ai l’impression qu’il s’agit du plus grand romancier vivant. C’est complètement idiot mais j’ai une excuse : je n’ai pas du tout le temps d’écrire un billet dessus.
(La traduction est de Vanessa Guignery.)
Voilà une idiotie qui plaira au plus grand romancier vivant.
RépondreSupprimerÇa risque de lui paraître plutôt loufoque - n'empêche.
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