Donc j’écrivais des sonnets – ai-je confessé mercredi dernier – et quand à l’Université j’ai découvert la poésie de Coleridge, j’ai voulu adapter en français d’abord The Rime of the Ancient Mariner puis Kubla Khan. À la relecture des deux il est clair que le premier m’a surtout servi à faire mes gammes ; par égard pour Coleridge je n’en lirai rien ici. À la place, voici le début de Koubla Khan, très adapté et très infidèle, tel qu’on peut le lire à la fin de Trois ductions de Koubla Khan, dans la revue Catastrophes.
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