Dans la série « les nouveaux éditeurs ont droit à l’électricité », après les doigts dans la prose, voici les éditions de l’abat-jour, qui s’intéressent notamment aux blogs d’écrivains (c’est là que je me suis dit que c’étaient sûrement des gens de bon goût), et qui publient en ligne un premier roman dont les premières lignes, précisément (et même les premières pages) ont l’air d’une bonne tenue.
Soulevons donc un peu l’abat-jour.
L'abat-jour, qui favorise la lecture, est préférable au rabat-joie, qui impose la censure.
pour en revenir aux éditions dudit abat-jour, je les trouve quand même bien sûrs d'eux pour ce qui est de savoir ce qu'est la "vraie" fiction...