vendredi 20 mars 2020

Écrire et publier ou pas (27) (deuxième semestre 2005)


Sans mon vieux Carnet vert je n’aurais pas grand-chose à dire de cette période – et même avec, d’ailleurs. Je lis beaucoup. En septembre je fais lire Par temps clair et Mémoires des failles à Séverine Weiss, pour Melville ; son avis est positif. « Elle souhaite, dans un premier temps, publier Par temps clair. » (Oui, je recopie le Carnet.) Je continue à écrire Seul à voir, qui prend de l’épaisseur. Je note plusieurs plusieurs idées de romans dont je ne conserve aucun souvenir (j’ai même un peu de mal à comprendre a posteriori en quoi elles consistaient vraiment, pour certaines). Léo Scheer me propose un contrat avec des droits d’auteur inférieurs à ceux de Chroniques, Séverine me dit de ne pas signer. Elle m’obtient les droits initiaux. La parution de Par temps clair est prévue pour mai 2006. A la suite d’une présentation de mon travail que je fais à la médiathèque de Rambouillet, je fais la connaissance de Monique Rivet qui me donne à lire son Cahier d’Alberto. « Comment un tel texte peut-il ne pas avoir trouvé d’éditeur ? », noté-je à la date du 26 décembre. Il en a un désormais, c’est Quidam ; lisez-le, vous ne serez pas déçu. (Mais n’allez pas imaginer pour autant que j’aie quelque influence sur les choix dudit Quidam, ce n’est pas le cas et c’est très bien.)



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