Tiens je viens de relire la Métamorphose, forcément. C’est comme la première fois.
En la relisant, je pensais à ce que peut-être, je dois à Kafka, qui n’est peut-être que ce qui m’a toujours fasciné (chez lui notamment, mais ailleurs aussi ; voici que la pensée d’Epépé, de Ferenc Karinthy, me traverse ; il y en aurait d’autres bien sûr) et qui m’a toujours animé à l’instant d’écrire : l’extrême attention portée sur quelque chose, sous un angle bien choisi, avec un verre suffisamment grossissant, pour que tous nous voyons clairement ce qu’il y a à voir.
J’ai déjà relu le Château, le Terrier, le Verdict, la Colonie pénitentiaire… Je crois bien que je vais tout relire.
(Ma métamorphose personnelle)
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