Ça y est, je viens de finir Kafka, le temps des décisions, la monumentale biographie de Reiner Stach, plus de huit cents pages qui pèsent entre les mains. Impression d’être avec Kafka. Impression redoublée car, depuis l’adolescence, j’ai souvent senti la présence de Kafka. C’est troublant, presque gênant parfois, cette intimité. Et pourtant on a envie d’y revenir. Heureusement j’ai déjà dans ma bibliothèque Kafka, le temps de la connaissance – car ce n’est pas fini ; merci Reiner Stach. Ça me prend du temps parce que je lis d’autres livres aussi, et parce que ça prend du temps, cette folie de travailler sur plusieurs textes en même temps. On n’est jamais sûr de terminer vraiment quoi que ce soit. J’ai relu le Verdict, récemment. Là, je viens de reprendre La Colonie pénitentiaire.
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