Voilà, la Maison de Pure Fiction, c'est terminé ; retour à la réalité. Tout de même,
quelques images pour vous montrer combien cette résidence d'écrivain
est bien nommée, toutes prises dans les abords immédiats. En effet
j'ai évidemment passé l'essentiel de mon temps à écrire, on en
reparlera, et à lire aussi, notamment Tanguy Viel, que je découvre
seulement avec son Article 353 du Code Pénal, émouvant et a
posteriori troublant justement parce qu'émouvant ; Marie Cosnay
avec son très beau Aquerò qui revisite la grotte où la fille l'a vue, et Isabelle
Desesquelles, qui sait terminer son roman d'amour juste avant qu'il
ne commence, car Un jour on fera l'amour, c'est beau comme un
film d'hier ou de demain.
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