Plusieurs choses. Je suis
très heureux de la prochaine parution de mes Notes sur les noms
de la nature, que j'évoquais dans le billet précédent, et qui
va paraître incessamment aux éditions des Grands Champs, au
catalogue desquelles j'aurai si je ne me trompe l'honneur d'être le
premier auteur vivant.
Avec un peu de chance, il
ne sera peut-être pas impossible de voir le livre, l'auteur vivant
et son illustratrice Florence Lelièvre au Salon de l'Autre Livre
(Espace des Blancs Manteaux, 48 rue Vieille du Temple à Paris), si
je peux y être ce sera le samedi 18 novembre, car le dimanche 19 je
serai au Salon des Essarts-le-Roi, rue du 11 novembre, avec j'espère
lesdites Notes, en tout cas avec Elise et Lise, Pas
Liev et quelques autres. Ces Notes sur les noms de la nature
ne tromperont pas leur lecteur : il y s'agira bien des noms
qu'on donne à ce qui vit. J'aime à penser que ce sera mon premier
livre de poésie assumé.
En attendant je vais
disparaître un peu en pure fiction, car tel est le nom de la maison qui m'accueille en résidence d'écrivain pour les semaines à venir,
j'ai maille à partir avec un projet de roman qui me résiste un peu
et je dois bien le reconnaître : j'ai besoin d'un peu de
tranquillité pour écrire.
Je note : "Le critère pour y être invité à écrire (en pure fiction) : l’exigence. Exigence d’un talent, exigence d’une oeuvre, exigence de labeur. L’écriture portée haut."... Chapeau bas, monsieur Annocque ! C'est quand même autre chose que pour figurer dans le dernier quarteron des "Goncourables" !
RépondreSupprimerEuh... C'est pour quand, le retour en dure réalité ?...
SupprimerA la fin de la semaine prochaine, hélas !
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