J’ai été très tôt fasciné par la forme du sonnet. J’en ai d’ailleurs commis moi-même un certain nombre, que je montre rarement. Le goût m’en est sans doute devenu avec du Bellay. Ce poème-ci, je le connais par cœur depuis l’adolescence – mais pas si bien, car en le récitant pour vous j’ai remplacé par « noble vertu », « grande vertu », au dernier tercet. Me pardonneras-tu cette petite surinterprétation, Joachim ? Je me suis fixé de ne faire qu’une prise pour ces petites lectures – le temps manque ; tu sais ce que c’est.
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