Eh bien, je me suis donné du mal, mais me voici avec une belle page blanche au-dessus de ma tête. Espérons qu’elle le
restera !
Commentaires
Moi aussi ! L'été est propice aux rénovations ! Plafond, murs, tout
refait à neuf dans le salon (l'été dernier c'était l'entrée, l'escalier
et la salle à manger).
Commentaire n°1
posté par
Pascale
le 11/08/2011 à 10h20
Là c'était le plafond de la cuisine, dont il a fallu réenduire une bonne partie avant de le repeindre.
Non, ce plafond ne laissera pas la "page blanche". Il sera propice à
la rêverie, viendront alors de belles lignes, comme celles que je suis
en train de relire (je le ressens très différemment de
la première lecture. Je m'imprègne plus des mots que de l'histoire,
c'est étrange, c'est beau) :
"Tu restes là un instant, à écouter, et en même temps tu secoues la
tête, comme pour dire non, comme le cheval dont la crinière ondule, pour
se débarrasser de cette impression gourde, de cette
écharpe de cendres mouillées qui t'enserre et t'entrave, alors que
pourtant tu es chez toi, que tu es rentré."
Chroniques imaginaires de la mort vive. page 22.
Commentaire n°3
posté par
Ambre
le 11/08/2011 à 12h27
Peut-être parce que celui-ci particulièrement a été prévu pour être relu ?
De nos jours, l'art contemporain a de très nombreux admirateurs
surtout auprès des Nouveaux Russes et des Américains. Si j'étais toi, et
si je peux me le permettre, je te conseillerai de
concrétiser ton excellente idée proposée ci-dessus. Un lustre. Oui.
Garde-le un temps chez toi et met le sur le marché. Un lustre
contemporain créé et utilisé par un écrivain européen pourra
peser très lourd sur le marché de l'art chez nos deux voisins. De
plus, ce sera un lustre écologique. Pas d'ampoules.
"Tu restes là un instant, à écouter, et en même temps tu secoues la tête, comme pour dire non, comme le cheval dont la crinière ondule, pour se débarrasser de cette impression gourde, de cette écharpe de cendres mouillées qui t'enserre et t'entrave, alors que pourtant tu es chez toi, que tu es rentré."
Chroniques imaginaires de la mort vive. page 22.
(Ces esclaves de la mode!:)
Un skieur avec un bonnet péruvien, ça ne te séduit pas ?