Hier, après avoir assisté à la présentation d’Autant la mer de François Matton – avec l’image à l’écran, oui, c’était comme ça qu’il fallait faire – je ne m’étends pas parce que j’ai déjà dit tout le bien
que je pense de ce beau livre horizontal comme le paysage rêvé par son narrateur, j’ai eu le plaisir (merci
Bénédicte, encore merci !) de rencontrer Edmond Baudoin.
Baudoin, ça fait plus de vingt ans (que dis-je : bien plus de vingt ans en réalité !) que je suis son
travail, tout simplement formidable (une année, j’ai même fait étudier un de ses albums, Couma aco, à mes élèves de troisième). Au même titre que Muñoz et Sampayo, il fait partie de ces auteurs de bande dessinée qui m’ont accompagné même durant les années où je ne lisais plus de
littérature.
Si
je n’aborde pas souvent la BD dans ces Hublots, c’est surtout pour des
raisons techniques : mon petit
sous-marin est un peu trop étriqué en largeur pour bien s’y prêter.
Mais tout de même : cliquez donc sur l’image médiocrement scannée par
mes soins pour mieux voir cette planche
d’Eloge de la poussière, (l’Association, 1995) qui, parmi beaucoup d’autres, reste dans ma mémoire.
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