Dans la forêt qui manque est un livre un peu mystérieux de Shiho Kasahara qui pourrait se lire comme un poème alors que c’est une pièce de théâtre – publiée chez Quartett ; c’est peut-être un poème de théâtre ? Il y est question de la langue comme d’un lieu – « elle est où ta langue » – langue française maternelle, langue japonaise paternelle ; car on habite la langue, comme on a habité la forêt de l’enfance. Je n’ai que le livre entre les mains pour parler de la pièce ; il faudrait la jouer pour qu’elle parle d’elle-même. Bientôt peut-être ?
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