C'est Odile Lafond qui me fait le plaisir de lire quelques pages de Pas Liev, dans les champs et la nuit. C'est sur Trilles et mordants, et c'est beau : cliquez donc.
Je copie-colle votre commentaire, cher DomdeLyon, qu'un bug non identifié empêche de faire apparaître, avec lequel je suis bien d'accord (le commentaire, pas le bug) :
"Adepte de la lecture à voix haute (ce qui me vaut parfois quelques regards inquiets ou amusés dans les jardins et parcs des villes ou sur les chemins de campagne où l'on croise des chasseurs, le fusil à la main avec moins d'inquiétude !) Là, bravo, cet extrait est vraiment effectivement excellemment bien dit !... Cependant, et oui, cependant, je crois que chacun(e) a sa propre façon de lire/dire un texte et que chacun(e) impose son souffle, sa respiration, sa sensibilité, son rythme, sa diction et qu'ensuite il lui est bien difficile d'entendre le texte "autrement"... C'est qu'avec l'écriture/lecture, on touche à l'intime !"
Je copie-colle votre commentaire, cher DomdeLyon, qu'un bug non identifié empêche de faire apparaître, avec lequel je suis bien d'accord (le commentaire, pas le bug) :
RépondreSupprimer"Adepte de la lecture à voix haute (ce qui me vaut parfois quelques regards inquiets ou amusés dans les jardins et parcs des villes ou sur les chemins de campagne où l'on croise des chasseurs, le fusil à la main avec moins d'inquiétude !) Là, bravo, cet extrait est vraiment effectivement excellemment bien dit !... Cependant, et oui, cependant, je crois que chacun(e) a sa propre façon de lire/dire un texte et que chacun(e) impose son souffle, sa respiration, sa sensibilité, son rythme, sa diction et qu'ensuite il lui est bien difficile d'entendre le texte "autrement"... C'est qu'avec l'écriture/lecture, on touche à l'intime !"