Et pourquoi pas une
rentrée littéraire plastique ? A l'opposé de la
marchandisation de la littérature et de son apogée saisonnier,
voici qu'avec Philippe Agostini je me livre à la pratique du livre
pauvre. Il y en a quatre conçus et peints par ses soins et écrits
par les miens qui sont en fait chacun un exemplaire unique, et dont
aucun ne dit exactement la même chose, sauf l'essentiel, à savoir
que
les hommes manquent.
Et ça s'achète où cette oeuvre d'art(istes) ? Si elle n'est pas un exemplaire unique...
RépondreSupprimerÇa ne s'achète pas ! C'est juste pour le plaisir des yeux. Il n'y a que quatre exemplaires - et chacun est unique car les peintures et même le texte change. Deux autres exemplaires seront visibles par le public, je posterai l'info quand ce sera fait.
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