vendredi 1 septembre 2017

Les hommes manquent mais heureusement le livre est pauvre.

Et pourquoi pas une rentrée littéraire plastique ? A l'opposé de la marchandisation de la littérature et de son apogée saisonnier, voici qu'avec Philippe Agostini je me livre à la pratique du livre pauvre. Il y en a quatre conçus et peints par ses soins et écrits par les miens qui sont en fait chacun un exemplaire unique, et dont aucun ne dit exactement la même chose, sauf l'essentiel, à savoir que
les hommes manquent.





2 commentaires:

  1. Et ça s'achète où cette oeuvre d'art(istes) ? Si elle n'est pas un exemplaire unique...

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    1. Ça ne s'achète pas ! C'est juste pour le plaisir des yeux. Il n'y a que quatre exemplaires - et chacun est unique car les peintures et même le texte change. Deux autres exemplaires seront visibles par le public, je posterai l'info quand ce sera fait.

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