Donc, puisque Liev est de sortie samedi en compagnie de son auteur et son éditeur, rappelons
que Pas Liev, c'est quand même un livre qui « renverse
la persective, et le lecteur à son tour vacille, se pourrait-il que
je sois moi aussi une figure inventée par l'auteur, maître des
illusions » (Eric Chevillard, Le Monde), « une fiction
piégeuse qui a l’air de se déployer comme un conte du
XVIIIe siècle mais réécrit par un schizophrène »
(Jean-Didier Wagneur, Libération), un livre qui « glisse vers
l’effroi, imperceptiblement, de manière implacable. Glaçant.
Magnifiquement maîtrisé." (Isabelle Rüf, Le Temps), « un
roman dense et inquiétant, où chacun est convoqué pour faire face
à sa folie, où rien de ce qui est vu n’est certain, ou dire est
contredire. Liev, qui pourrait s’éloigner de nous au moment où sa
folie devient évidente, reste le représentant pathétique d’une
humanité qui pour ne pas glisser au fond du trou s’accroche au
moindre brin d’herbe, » (Alain Nicolas, L'Humanité). J'arrête la liste des louanges, plus longue que le roman lui-même. Si,
comme moi, vous n'y croyez pas, allez donc voir ici ou là.
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