J’ai déjà dit, à l’occasion des funérailles d’Hector, l’importance de mon frère aîné Francis dans mon intérêt pour la mythologie grecque en général et pour le cycle troyen en particulier. Peut-être est-ce à Francis aussi que je dois d’éprouver une sympathie très relative à l’égard du héros aux mille ruses, laquelle s’entend un peu quand Tirésias, depuis les Enfers, prédit par ma voix son avenir à Ulysse – et encore, je m’arrête avant le pire. La traduction est de Philippe Jaccottet.
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