vendredi 3 avril 2020

Day after day


Day after day, day after day,
We stuck, nor breath nor motion ;
As idle as a painted ship
Upon a painted ocean.

Les jours suivaient les jours en une vaine attente.
L’immobile bateau demeurait là, cloué,
Tel une sombre estampe accrochée, permanente,
Un portrait de vaisseau sur la mer englué.

Coleridge 1797, Annocque 1986.

J’en profite pour rappeler que ma relation au poète anglais fait l’objet d’un texte dont la première partie est parue récemment dans la revue Catastrophes, cliquez donc.



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